LA éLOCUTION DE LA HAUT

La élocution de la haut

La élocution de la haut

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La eclat tremblotante des torches projetait des obscurcissements mouvantes sur les murs de la chambre haute technique du temple. Le pasteur, encore secoué par son voyage onirique, se redressa légèrement, l'ensemble des organes perclus de frissons nonobstant la thermométrie oppressante de l'obscurité. Il posa une main sur son bracelet d’or et de jade, sentant le battement empressé de son cœur par-dessous sa paume. La voyance n’avait jamais existé entre autres nette. Ce qu’il avait vu dépassait tout ce que ses prédécesseurs lui avaient enseigné. Une grande ville inconnue, bâtie de perles blanches lisses comme par exemple technique du cristal, un monde dont l’apparence et la tenue lui échappaient, une impression d’irréalité qui défiait les protocoles du lendemain. Mais ce n’était pas la magnificence de cette grande ville qui l’effrayait. C’était ce qu’il avait ressenti pendant la durée où elle s’effondrait. Un avertissement. Un présage de destruction. Il se leva délicatement, les participant encore engourdies par son voyage dans l’invisible. Les rites immémoriaux enseignaient que la voyance par le visée pouvait révéler des signaux cachés, mais il savait que quelques révélations étaient plus que de simples reproductions. Elles étaient des éclats de pertinence, des fragments d’un destinée travailler dans le tissu du temps. Il quitta la chambre silencieusement et gravit les marches allant au sommet de la pyramide principale. En contrebas, la ville dormait encore, seulement bercée par le vent et le chant des insectes nocturnes. Les temples, les places et les médiateurs scintillaient sous la lumière astrologiques, offrant une illustration de détente. Mais il savait désormais que cette détente était trompeuse. Il s’agenouilla destinées à l’autel de pierre, là où autant dans les domaines d’autres avaient prié premier plan lui. Il devait déchiffrer. Il rassembla les cendres d’un fusée religieux, les dispersa sur la surface de l’autel et traça des symboles séculaires de son larme tremblant. Le penchant de la divination par la cendre lui permettrait d’approfondir sa image, de décodifier ce que les dieux cherchaient à lui montrer. Il ferma les yeux. La brise nocturne s’intensifia au pas de course, soulevant un nuage de cendres autour de lui. La voyance s’infiltra dans ses énergies, emportant ses pensées au-delà du communauté des vivants. Une voix résonna dans l’air, douce et lointaine, attenant à un écho perdu dans les siècles. Le même son que celui qu’il avait sûr dans son rêve. Il ouvrit les yeux et vit, censées lui, les cendres tourbillonner d’une touche anormale. Elles ne se dispersaient pas au vent comme elles auraient dû le impliquer. Elles formaient un explication. Un marque identitaire. Un cercle brisé, traversé par une ligne sinueuse. Il connaissait cet insigne. C’était celui technique du renouveau, et la ruine. Il recula délicatement, le disposition court. La voyance venait de valider ses hésitations. Le époques grâce à leur ville était s'étant rencontré. Et si les siens ne l’écoutaient pas, ils disparaîtraient tels que autant d’autres avant eux.

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